dimanche 29 mai 2011

Cafouillette et la pivoine



conseils :

tous les jours

changer l'eau
couper un petit bout de tige
vaporiser le feuillage

vendredi 27 mai 2011

Cafouillette pleure son platane à feuilles d'érable ...



Deux phénomènes ont touché le platane :
l'absence de pluie, puis les fortes températures alors que la sécheresse était bien installée.

Les feuilles sont passées du vert au brun directement ; elles ont en fait été brûlées par les températures élevées.
Les températures à la surface des feuilles ont été encore plus élevées que la température de l'air, parce que les stomates étaient fermés en raison du déficit hydrique et que les feuilles n'étaient plus "refroidies" par la transpiration.

Ce n'est pas forcément très grave, même si une partie importante du feuillage est touchée. Il faut vérifier si les dégâts ne concernent que les organes annuels (les feuilles) ou si les rameaux de l'année ou plus âgés sont secs. Plus des organes âgés sont touchés, plus les dégâts sont préoccupants.

Donc à suivre ...

mercredi 25 mai 2011

Cafouillette élève une grenouille rousse





Assez massive, elle possède un museau arrondi et des pattes robustes. Sa peau présente quelques verrues, et est brun grisâtre à roux voire rouge brique, vert ou jaunâtre, avec des marques sombres. Le ventre est clair et parfois tacheté. Une large tache sombre incluant les tympans est visible à l’arrière des yeux, et se prolonge parfois jusqu’au museau. Leur pupille est horizontale et l’iris est doré. Les adultes mesurent de 6 à 10 cm de long. Les mâles, généralement plus gris, sont un peu plus petits que les femelles et possèdent des sacs vocaux internes. Les oeufs, pondus en amas flottant, sont noirs au-dessus et blancs en dessous, et mesurent 2 ou 3 mm de diamètre. Les têtards, mesurant environ 4,5 cm, sont brun foncé à noir et ont une crête le long du corps.

La Grenouille rousse sort de sa période d’hibernation dès la fin du mois de février. Elles entament alors des migrations massives vers le site de ponte, par temps humide et lorsque les températures atteignent au moins cinq degrés pour rejoindre leur lieu de reproduction, ces grenouilles étant bien souvent fidèles à leur site d’origine. Lors de l’accouplement, le mâle s’accroche au dos de la femelle via les aisselles. Les femelles posent dans l’eau leurs œufs en amas flottant, chaque amas pouvant comporter de 700 à 4 500 œufs. Il n’y a en principe qu’une ponte ou un amas d’œufs pondus par femelle. Une fois les pontes déposées, les adultes regagnent leurs quartiers d’été, souvent proches de leur lieu d’hibernation. Les œufs se développent en 2 à 4 semaines. A l’éclosion, les têtards restent d’abord en groupe près du lieu de ponte. Ils migreront ensuite au fond de l’eau avant de se disperser un peu partout dans l’étang. Leur développement jusqu’à la métamorphose s’étend sur 3 à 5 mois. Il arrive parfois que les têtards ne se métamorphosent que l’année suivante. La plupart du temps, les pontes et têtards subissent des pertes considérables, et seuls 1% à 6% des œufs donnent des petites grenouilles. Aux alentours du mois de novembre, les Grenouilles rousses entrent en hibernation, et passent l’hiver en général dans la boue au fond de l’eau ou sur la terre ferme, dans des abris humides sous des pierres, de vieux troncs, tec. Elles atteignent l’âge adulte qu’à la fin de la deuxième année. Une Grenouille rousse vit en moyenne 6 à 10 ans dans nos régions, parfois 13 ans.

Généraliste, la Grenouille rousse se nourrit principalement de nombreux invertébrés, dont les vers de terre, les arachnides, les limaces, ainsi qu’un grand nombre d’insectes, y compris aquatiques. Les têtards mangent plutôt du zooplancton, des morceaux de plantes et d’algues, des petits invertébrés aquatiques, et également divers détritus et cadavres de petits animaux. Les jeunes grenouilles consomment des petites proies (larves d’insectes, collemboles, etc.).

Largement répandue en Europe, la Grenouille rousse est très tolérante et mobile, et peut s’adapter à divers habitats, que ce soit des sites permanents ou temporaires, naturels ou très artificiels. On la retrouve donc dans des zones boisées, des eaux stagnantes peu profondes pour la ponte (bords d’étangs ou drains, mares, marais, prés inondés, tourbières, bassins d’orage, etc.), des prairies humides, des parcs, etc. Elle évite par contre les endroits trop ensoleillés et secs.

lundi 23 mai 2011

Cafouillette au club des escargots

dimanche 22 mai 2011

Cafouillette et Tarzan la banane

dimanche 15 mai 2011

Cafouillette libère la cicadelle










Pauvre larve, enfermée dans un bocal pour avoir craché de la mousse sur des tiges de lavande !

Les larves de cicadelles produisent leur mousse, appelée aussi crachat de coucou, en mélangeant de l'air à un liquide qu'elles excrètent par l'anus. La technique est un peu primitive mais plutôt efficace : Elles se cachent ainsi à la vue des prédateurs, et en même temps, maintiennent autour d'elles l'humidité dont elles ont absolument besoin pour vivre.

lundi 2 mai 2011

Cafouillette apprend à se servir d'une congeleuse

histoire de pouvoir souder sans vidanger une installation ...




dimanche 1 mai 2011

Cafouillette porte bonheur

Radio Cafouillette