mardi 30 septembre 2008

Cafouillette n'est plus que l'ombre de lui-même

lundi 29 septembre 2008

Cafouillette en pleine réflexion

dimanche 28 septembre 2008

Cafouillette se demande si avec une pince à linge sur le bec il pourrait lui aussi faire de la Pub pour la rose des vents


samedi 27 septembre 2008

Cafouillette au bal des petits lapins

vendredi 26 septembre 2008

Cafouillette dans le Pilatus assiste au largage de Fusion Man à 2300 mètres d'altitude



jeudi 25 septembre 2008

Cafouillette teste sa personnalité



Des psychologues ont découvert que la façon dont les gens mangent les biscuits Oreo 
donne un aperçu de leur personnalité.


Dans les méthodes suivantes, choisissez-en une qui correspond le mieux à votre façon favorite de manger des Oreo :

1--  Le biscuit en entier en une seule bouchée.
2--  Une bouchée à la fois.
3--  En le grignotant lentement et de façon méthodique et examinant les résultats après chaque bouchée.
4--  En grignotant de petites bouchées de façon fébrile.
5--  Après avoir été mis dans un liquide (lait, café, thé....)
6--  Séparé en deux, l'intérieur en premier et le biscuit par la suite.

7--  Séparé en deux, l'intérieur en premier et tourner et retourner le biscuit par la suite.
8--  Juste le biscuit, pas l'intérieur.
9-   J'aime les lécher mais pas les manger.
10-  Je n'ai pas de façon favorite car je n'aime pas les biscuits Oreo.



1. Le biscuit en entier en une bouchée.
Cela signifie que vous vous abandonnez à la vie, les gens ont du plaisir d'être avec vous,  
vous êtes excitant, insouciant qui inclut un peu d'imprudence. 
Vous êtes totalement irresponsable. 
Personne ne devrait avoir confiance en vous avec leurs enfants.


2. Une bouchée à la fois.
Vous êtes chanceux d'être un des 5.4 milliards de personnes qui mangent leurs Oreo de la même façon.
Tous comme eux, vous manquez d'imagination mais c'est correct, ne vous en faites pas, vous êtes normal.

3. En le grignotant lentement et de façon méthodique et examinant les résultats après chaque bouchée.
Vous êtes lent et méthodique. Vous observez les règlements. 
Vous êtes très rangés et ordonnés. Vous êtes très méticuleux dans chaque détail pour chaque chose que vous faites au point d'être très tenace et irritants pour les autres. 
Enlevez-vous de la voie rapide si vous ne désirez aller qu'à la vitesse permise.

4. En grignotant de petites bouchées de façon fébrile.
Votre patron vous aime parce que vous faites votre travail rapidement. 
Vous avez toujours un million de choses à faire mais jamais assez de temps pour les faire. 
Il y a dans votre famille des cas de dépression et de suicide. 
Les Valium et le Ritalin vous feraient du bien.

5. Après avoir été mis dans un liquide (lait, café, thé....)
Tout le monde vous aime parce que vous êtes un gagnant. 
Vous aimez enrober de miel les expériences déplaisantes et vous rationalisez les mauvaises situations en de bonnes. Vous êtes en désaccord total avec le gâchis que vous appelez une vie. Vous avez une forte 
tendance à avoir une dépendance aux narcotiques.

6. Séparé en deux, l'intérieur en premier et le biscuit par la suite.
Vous êtes d'une nature très curieuse. 
Vous prenez plaisir à briser les choses en morceaux pour savoir comment 
elles fonctionnent, bien que vous ne soyez pas toujours capable de les remettre 
dans leur état normal par la suite, ce qui fait que vous détruisez toute évidence de 
ce que vous avez fait. Vous niez être impliqué dans des choses qui vont mal. 
Vous êtes un menteur compulsif et vous montrez un comportement difficile.
7. Séparé en deux, l'intérieur en premier et tourner et retourner le biscuit par la suite.
Vous êtes bon en affaires et vous prenez des risques qui payent. 
Vous prenez ce que vous voulez et rejetez le reste. Vous êtes cupide, égoïste, minable 
et vous ne ressentez aucun sentiment envers les autres. Vous devriez avoir honte de vous-même. 
Mais c'est correct, vous vous en foutez, vous êtes là pour vous.

8. Juste le biscuit, pas l'intérieur.
Vous aimez la douleur.

9. J'aime les lécher mais pas les manger.
Éloignez-vous des petits animaux à fourrure et recherchez de l'aide médicale... immédiatement !

10. Je n'ai pas de façon favorite car je n'aime pas les biscuits Oreo.
Vous venez probablement d'une famille riche, vous aimez porter de belles choses et aller dans des restaurants chics. Vous êtes minutieux et tatillon concernant les choses que vous achetez, que vous avez et que vous portez. Les choses doivent être parfaites.
Vous aimez être dorloté. Vous êtes prétentieux. Personne ne vous aime.

mercredi 24 septembre 2008

Cafouillette veut entendre le chant des sirènes, Cafouillette plonge, Cafouillette se noie

lundi 22 septembre 2008

Cafouillette et la valse des saisons

fruits et fleurs sur le pommier pour un premier jour d'automne ...


dimanche 21 septembre 2008

Cafouillette est occupé ...

À l'instant t=0 :
Une souris (assimilée à un point S) est fixe sur un cercle de rayon R.
Un chat (assimilé à un point C) est fixe sur le centre du cercle.

Quand le chronomètre se met en marche :
La souris tourne autour du cercle (dans le sens des aiguilles d'une montre) à une vitesse constante V.
Le chat quitte le centre à la même vitesse constante V en se déplaçant vers la souris de telle façon que sa vitesse (en vecteur) soit toujours dirigée vers S.

Le chat rattrape t-il la souris ?

samedi 20 septembre 2008

Cafouillette au centre de la création


Les Muses - Debeve (métro République Beaux Arts)

vendredi 19 septembre 2008

La raison de la colère de Cafouillette :


Les merles vendangeurs

jeudi 18 septembre 2008

Cafouillette chauffeur de taxi

un jour de grève des bus

mercredi 17 septembre 2008

Cafouillette et le petit écureuil lisent la presse du mercredi




Mange ton yaourt !

PRENEZ des poussins d'une semaine.
Donnez-leur chaque jour du Lactobacillus Fermentum, vous savez le genre de "bactéries probiotiques" (ces bonnes bactéries présentes dans l'intestin, qu'on produit aujourd'hui en laboratoire) dont Danone saupoudre certains de ses produits.
Quatre semaines plus tard, vous avez des poulets XXL. De monstrueuses volailles dont la taille dépassent de 30 % celle d'un poulet normal.
...

extrait de Le Canard enchaîné, mercredi 17 septembre 2008
pour lire la suite de l'article, c'est 1,20 euros en kiosque

mardi 16 septembre 2008

Cafouillette veille de fête

lundi 15 septembre 2008

The dark side of Cafouillette


Pink Floyd founder member Richard Wright has died

dimanche 14 septembre 2008

Cafouillette et Madame Le Chat font la sieste

samedi 13 septembre 2008

Cafouillette n'annonce pas de pluie pour le passage d'Alain Bashung samedi à 19h00



mercredi 10 septembre 2008

Cafouillette disparaît dans le trou noir



En fait Cafouillette est juste parti en quête du boson de higgs sous la frontière franco suisse ...

mardi 9 septembre 2008

Cafouillette tête à poux



poux, hiboux, choux, joujoux, genoux, cailloux, bijoux

et puis voici la liste des 15 ouvrages sélectionnés par les 10 roudoudous du Goncourt
attention, on ne dit pas "vieux roudoudous" puisque maintenant une limite d'âge de 80 ans a été fixée à ses membres ...

Jean-Baptiste Del Amo : "Une éducation libertine" (Gallimard)
Salim Bachi : "Le silence de Mahomet" (Gallimard)
Christophe Bataille : "Le rêve de Machiavel" (Grasset)
Matthieu Bellezi : "C'était notre terre" (Albin Michel)
Jean-Marie Blas de Roblès : "Là où les tigres sont chez eux" (Zulma)
Catherine Cusset : "Un brillant avenir" (Gallimard)
Jean-Louis Fournier : "Où on va, papa ?" (Stock)
Valentine Goby : "Qui touche à mon corps je le tue" (Gallimard)
Alain Jaubert : "Une nuit à Pompéi" (Gallimard)
Michel Le Bris : "La beauté du monde" (Grasset)
Catherine Millet : "Jour de souffrance" (Flammarion)
Patrice Pluyette : "La traversée du Mozambique par temps calme" (Le Seuil)
Atiq Rahimi : "Syngué Sabour" (POL)
Olivier Rolin : "Un chasseur de lions" (Le Seuil)
Karine Tuil : "La domination" (Grasset)

lundi 8 septembre 2008

Cafouillette a un avis tranché sur les livres des éditions José Corti

dimanche 7 septembre 2008

Cafouillette et celles qui partent à la pêche aux moules ...






Cafouillette n'a pas de friteuse

mais cuisine les moules comme Mado les cuisinait ( Le Crotoy )

samedi 6 septembre 2008

Cafouillette apprend la paresse dans le figuier



LA FIGUE ET LE PARESSEUX

Dans l'indolente et voluptueuse petite ville de Blidah, quelques années avant l'invasion des Français, vivait un brave Maure qui, du nom de son père, s'appelait Sidi Lakdar et que les gens de sa ville avaient surnommé le Paresseux.
Vous saurez que les Maures d'Algérie sont les hommes les plus indolents de la terre, ceux de Blidah surtout ; sans doute à cause des parfums d'oranges et des limons doux dont la ville est noyée. Mais, en fait de paresse et de nonchaloir, entre tous les Blidiens, pas un ne venait à la ceinture de Sidi Lakdar. Le digne seigneur avait élevé son vice à la hauteur d'une profession. D'autres sont brodeurs, cafetiers, marchands d'épices. Sidi Lakdar, lui, était paresseux.
A la mort de son père, il avait hérité d'un jardinet sous les remparts de la ville, avec de petits murs blancs qui tombaient en ruines, une porte embroussaillée qui ne fermait pas, quelques figuiers, quelques bananiers et deux ou trois sources vives luisant dans l'herbe. C'est là qu'il passait sa vie, étendu de tout son long, silencieux, immobile, des fourmis rouges plein sa barbe. Quand il avait faim, il allongeait le bras et ramassait une figue ou une banane écrasée dans le gazon près de lui ; mais s'il eût fallu se lever et cueillir un fruit sur sa branche, il serait plutôt mort de faim. Aussi, dans son jardin, les figues pourrissaient sur place, et les arbres étaient criblés de petits oiseaux.
Cette paresse effrénée avait rendu Lakdar très populaire dans son pays. On le respectait à l'égal d'un saint. En passant devant son petit clos, les dames de la ville qui venaient de manger des confitures au cimetière, mettaient leurs mules au pas et se parlaient à voix basse sous leurs masques blancs. Les hommes s'inclinaient pieusement, et, tous les jours, à la sortie de l'école, il y avait sur les murailles du jardin toute une volée de gamins en vestons de soi rayée et bonnets rouges, qui venaient essayer de déranger cette belle paresse, appelaient Lakdar par son nom, riaient, menaient du train, lui jetaient des peaux d'orange.
Peine perdue ! Le paresseux ne bougeait pas. De temps en temps on l'entendait crier du fond de l'herbe : «Gare, gare tout à l'heure, si je me lève ! » mais il ne se levait jamais.
Or, il arriva qu'un de ces petits drôles, en venant comme cela faire des niches au paresseux, fut en quelque sorte touché par la grâce, et, pris d'un goût subit pour l'existence horizontale, déclara un matin à son père qu'il entendait ne plus aller à l'école et qu'il voulait se faire paresseux.
«Paresseux, toi ? ... fit le père, un brave tourneur de tuyaux de pipe, diligent comme une abeille et assis devant son tour dès que le coq chantait... Toi, paresseux ? ... En voilà une invention ! »
- Oui, mon père, je veux me faire paresseux... comme Sidi Lakdar...
- Point du tout, mon garçon. Tu seras tourneur comme ton père, ou greffier au tribunal du Cadi comme ton oncle Ali, mais jamais je ne ferai de toi un paresseux... Allons, vite, à l'école ; ou je te casse sur les côtes ce beau morceau de merisier tout neuf... Arri, bourriquot ! » En face du merisier, l'enfant n'insista pas et feignit d'être convaincu ; mais, au lieu d'aller à l'école, il entra dans un bazar maure, se blottit à la devanture d'un marchand, entre deux piles de tapis de Smyrne, et resta là tout le jour, étendu sur le dos, regardant les lanternes mauresques, les bourses de drap bleu, les corsages à plastrons d'or qui luisaient au soleil, et respirant l'odeur pénétrante des flacons d'essence de rose et des bons burnous de laine chaude. Ce fut ainsi désormais qu'il passa tout le temps de l'école...
Au bout de quelques jours, le père eut vent de la chose : mais il eut beau crier, tempêter, blasphémer le nom d'Allah et frotter les reins du petit homme avec tous les merisiers de sa boutique, rien n'y fit. L'enfant s'entêtait à dire : «Je veux être paresseux... je veux être paresseux», et toujours on le trouvait étendu dans quelque coin.
De guerre lasse, et après avoir consulté le greffier Ali, le père prit un parti.
«Écoute, dit-il à son fils, puisque tu veux être paresseux à toute force, je vais te conduire chez Lakdar. Il te passera un examen, et, si tu as réellement des dispositions pour son métier, je le prierai de te garder chez lui, en apprentissage.
- Ceci me va», répondit l'enfant.
Et, pas plus tard que le lendemain, ils s'en allèrent tous les deux, parfumés de verveine et la tête rasée de frais, trouver le paresseux dans son petit jardin.
La porte était toujours ouverte. Nos gens entrèrent sans frapper, mais, comme l'herbe montait très touffue et très haute, ils eurent quelque peine à découvrir le maître du clos. Ils finirent pourtant par apercevoir, couché sous les figuiers du fond, dans un tourbillon de petits oiseaux et de plantes folles, un paquet de guenilles jaunes qui les accueillit d'un grognement.
«Le Seigneur soit avec toi, Sidi Lakdar, dit le père en s'inclinant, la main sur la poitrine. Voici mon fils qui veut absolument se faire paresseux. Je te l'amène pour que tu l'examines, et que tu voies s'il a la vocation. Dans ce cas, je te prie de le prendre chez toi comme apprenti. Je paierai ce qu'il faudra.
Sidi Lakdar, sans répondre, leur fit signe de s'asseoir près de lui, dans l'herbe. Le père s'assit, l'enfant se coucha, ce qui était déjà un fort bon signe. Puis tous les trois se regardaient sans parler.
C'était le plein midi du jour ; il faisait une chaleur, une lumière ! ... Tout le petit clos avait l'air de dormir. On n'entendait que le crépitement des genêts sauvages crevant leurs cosses au soleil, les sources chantant sous l'herbe et les oiseaux alourdis qui voletaient entre les feuilles avec un bruit d'éventail ouvert et refermé.
De temps en temps, une figue trop mûre se détachait et dégringolait de branche en branche. Alors, Sidi Lakdar tendait la main, et, d'un air fatigué, portait le fruit jusqu'à sa bouche. L'enfant, lui, ne prenait pas même cette peine. Les plus belles figues tombaient à ses côtés sans qu'il tournât seulement la tête. Le maître, du coin de l'oeil, observait cette magnifique indolence ; mais il continuait à ne souffler mot. Une heure, deux heures se passèrent ainsi... Pensez que le pauvre tourneur de tuyaux de pipe commençait à trouver la séance un peu longue. Pourtant il n'osait rien dire, et demeurait là, immobile, les yeux fixes, les jambes croisées, envahi lui-même par l'atmosphère de paresse qui flottait dans la chaleur du clos avec une vague odeur de banane et d'orange cuites.
Tout à coup, voilà une grosse figue qui tombe de l'arbre et vient s'aplatir sur la joue de l'enfant. Belle figue, par Allah ! rose, sucrée, parfumée comme un rayon de miel. Pour la faire entrer dans sa bouche, l'enfant n'avait qu'à la pousser du doigt ; mais il trouvait cela encore trop fatigant, et il restait ainsi, sans bouger, avec ce fruit qui lui embaumait la joue. A la fin, la tentation devint trop forte ; il cligna de l'oeil vers son père et l'appela d'une voix dolente :
«Papa, dit-il, papa... mets-la-moi dans la bouche...»
A ces mots, Sidi Lakdar qui tenait une figue à la main la rejeta bien loin, et s'adressant au père avec colère :
«Et voilà l'enfant que tu viens m'offrir pour apprenti ! Mais c'est lui qui est mon maître ! C'est lui qui doit me donner des leçons ! »
Puis, tombant à genoux, la tête contre terre, devant l'enfant toujours couché :
«Je te salue, dit-il, ô père de la paresse ! ...»

légende algérienne

vendredi 5 septembre 2008

Cafouillette et les cornes de gazelles




Cornes de gazelles

pour la pâte
300 g de farine
120 g de beurre
100 ml de fleur d'oranger

pour la farce
250 g de poudre d'amandes
1 oeuf
70 g de sucre glace
2 pincées de cannelle

un peu de fleur d'oranger et de sucre glace pour le glaçage

Pétrir la farine avec le beurre fondu et la fleur d'oranger.
Laisser reposer 30 mn.
Mélanger la poudre d'amandes, l'oeuf, le sucre glace et la cannelle.
Etaler la pâte finement. Découper des cercles. Déposer un peu de farce. Former un croissant, souder les bords.
Cuire 15 mn à 180 °. Ne pas laisser dorer.
Badigeonner à la fleur d'oranger, poudrer de sucre glace.









jeudi 4 septembre 2008

Cafouillette compte les copines

mercredi 3 septembre 2008

Cafouillette et les nénés

Cafouillette a trouvé sur le marché un intérieur de cageot à melon avec des alvéoles, tout juste ce qu'il lui faut pour ses semis.



Mais voilà, il paraît que cela ressemble aux nénés des filles ...
Les nénés, Cafouillette a t-il lui aussi des nénés ?
Intrigué Cafouillette a cherché dans le petit Robert. Là, rien, pas de nénés.
En revanche, quelques étagères de la bibliothèque plus loin, Cafouillette a trouvé ce livre ...



mardi 2 septembre 2008

Cafouillette s'endort avec le petit écureuil



Cafouillette and the red squirrel

lundi 1 septembre 2008

Cafouillette et les retours

le retour de la pointure 45

Radio Cafouillette